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Aendel de Lillandril

Aendel de Lillandril
Messages : 32
Date d'inscription : 16/10/2022
Age : 30
Localisation : Toussaint
Lun 24 Oct - 18:10

Aendel de Lillandril
personnage d'origine | The Elder Scrolls V - Skyrim
  • SURNOM: Le miraculé d’Auri-El / Le Traître
  • ÂGE: Environ 1000 ans
  • SEXE: Masculin
  • ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel
  • OCCUPATION : Ancien soldat prêt à être mercenaire / Mage puissant de l’ordre des Psijiques
  • APPARTENANCE: Elfes
  • RACE: Haut-Elfe (Altmer)
  • DEMANDE PARRAINAGE : non
PHYSIQUE ET CAPACITES: Aendel est un Altmer originaire de l’Archipel du Couchant. Comme la plupart de ses homologues, il est fin et élancé mais tout en muscles,  fruits de nombreux combats à l’épée. Comme nombre de Haut-Elfes, sa taille est imposante et avoisine les 1 mètre 92. Ses cheveux, tombant à hauteur d’épaule, sont d’un blond profond lumineux et ses yeux orange aussi ardents que les flammes, brillants d’intelligence et de détermination. Sa peau satinée d’un jaune clair légèrement doré n’est pas sans rappeler les plages de sables fins de son île natale. Habitué à l’aristocratie Altmerienne, Aendel est un elfe raffiné dont le style reflète le goût et la grande culture de son peuple qu’il considère sage et intelligente. Pourtant, son expérience de soldat en fait un individu adaptable qui sait se passer du luxe et se défaire des apparences, le paraître lui important bien moins que l’honneur, la justice et les qualités intellectuelles. Son corps arbore de nombreuses cicatrices, souvenirs des champs de bataille mais aussi et surtout de la torture subie aux mains du Thalmor dont il était un représentant à une époque. Parmi ces traces, une longue cicatrice traversant sa jour gauche et les traces de brûlure autour de l’œil du même côté, altérant sa vue mais non pas son talent au combat, sont deux signes distinctifs permettant de l’identifier.  

Bretteur hors pair, il ne se sépare jamais de son épée elfique qui l’a accompagnée lors de la Grande Guerre opposant l’Empire de Cyrodiil (Empire dirigé par les humains Impériaux et ayant tenté à maintes reprises de conquérir les autres contrées de Tamril) au Domaine Aldmeri (Alliance entre les Hauts-Elfes, les elfes des bois et les Khajiits), ni se son bouclier Daedrique dont les charmes le protègent de certains sorts. Ses talents de soldat lui ont permis de se sortir de nombreuses situations, pourfendant humains et elfes mais aussi nombre de créatures magiques telles que des loups-garous, des vampires, des daedras, des mages, des morts-vivants et des dragons. Au-delà de ça, Aendel descend d’une lignée de magiciens notables appartenant à l’ordre des Psijiques, les plus puissants mages de Nirn, et comptant également certains mages du clan Direnni (Un clan d'Altmer ayant régné sur une bonne partie de Tamril et connu pour avoir des mages hors pairs ayant développé les disciplines magiques). Il possède en effet l’héritage du Vestige dont les pouvoirs de Lorkhan ont permis de combattre le Daedra Molag Bal (Sorte de démon lié à la domination et la souffrance ayant tenté d'esclavager le plan mortel) et dont l’héritage lui vaut une puissance magique impressionnante et une longévité bien supérieure aux autres elfes du monde de Nirn. La filiation avec ce héro mais aussi les mages Direnni et Psijiques lui ont permis d’acquérir un talent jamais égalé en magie, bien qu’il ne le maîtrise pas encore puisqu'il s'est détourné de cette voie à l'aube de sa vie d'adulte.

L’histoire d’Aendel se lit sur son corps comme les émotions se lisent au travers de ses yeux. Bien que son attitude puisse paraître hautaine et un peu trop sérieuse pour nombre d’étrangers, la détermination, le courage et la soif de justice marquent ses traits fins et anguleux mais héroïques.
MENTAL: Si un seul mot devait décrire la personnalité de ce vieil elfe à l’histoire complexe, ce serait « ambivalence ». Aendel est un Altmer profond et complexe dont les attaches et tiraillements le conduisent à adapter son comportement mais toujours dans un seul et unique but: celui de l’honneur et de la justice. Trahis par les Hommes comme par les siens, il a du mal à accorder pleinement sa confiance et se méfie de tous ceux qu’il ne connait pas. Son éducation lui a inculqué la recherche de la maîtrise et de la sagesse, de l’ordre et de la dévotion aux divins… Mais contrairement à ses anciens collègues, il a appris à prendre du recul. Aendel est prêt à mettre sa vie au service des causes qu’il considère comme justes ou des rares personnes qui ont gagné son respect et sa loyauté. Il se montre particulièrement protecteur envers sa famille et ses amis mais toujours dans l'intelligence et se montre peu impulsif. En dépit de ce qu’on pourrait croire à premier abord, il sait faire preuve de dérision et d’un esprit léger lorsqu’il se sent en confiance et aime même partager une chope de bière avec ses proches, bien qu’il préfère l’alcool raffiné auquel le Couchant l’a habitué. Plein d’esprit mais aussi homme d’action, Aendel n'hésite pas à combattre et peut faire preuve d'un grand courage quand il s'agit de protéger les siens ou de défendre ses valeurs, il peut même devenir excessif quand la vie de sa famille ou ses amis se trouve en danger. D'ordinaire, il aura tendance à prendre des décisions pour le bien commun plutôt que pour un seul individu, sauf s'il s'agit de sa fille, pour qui il serait prêt à se damner. Le soldat sait faire preuve d'une abnégation impressionnante ce qui ne l'empêche pas d'avoir ses faiblesses : Les souvenirs de la guerre et de sa détention aux mains du Thalmors le hantent encore dans ses cauchemars et il arrive que la terreur s'empare de son esprit, le paralysant tout à fait. Il méprise ceux sans loyauté et, s'il n'est pas hostile aux humains, il garde en lui l'idée que les Hommes sont irresponsables et égoïstes. Il n'a appris à se familiariser avec sa puissance magique que tardivement et garde encore quelques lacunes en dépit de son statut de Psijique, se laissant parfois dépasser par sa grande magie dont il reste méfiant. Outre les Psijiques qu'il juge particulièrement sages et éclairés, il se méfie de tous ceux qui pratiquent les arts occultes et qui ont tendance à ne pas considérer les conséquences de leurs actes, en particulier les humains. L'un des rares moyens de gagner son respect est de faire preuve d'honneur au combat et d'une réflexion intellectuelle riche.

D’un naturel pragmatique, il peut se montrer hautain à certaines reprises mais sait se remettre en question au besoin. Contrairement à beaucoup des siens, il a apprit à revoir son appréciation des humains et des elfes, aussi a-t-il conscience que certains Hommes sont dotés de grandes vertus et que certains elfes ne sont qu'arrogance et pouriture. Bien qu’ayant servit les Thalmors, Aendel se diffère du parti par son ouverture d’esprit, renforcé par son expérience auprès de l’Enfant de Dragon et des Psijiques. Il ne s’attache pas à un passé révolu mais reste ouvert aux changements et à l’avenir, se battant pour offrir aux siens un monde de paix et combattant chaque parti prêt à s'imposer par la force. Bien qu’ayant appris à tolérer les cultes différents, il reste un fervent serviteur des huit divins, en particulier  Auri-El et Trinimac et hait profondément tous les adorateurs de daedras ou autres esprits malins. Il est en revanche un sujet qui surpasse tous les autres et peut le conduire à bafouer ses principes : Sa fille, Milwën, pour qui il serait prêt à tout.  Père dévoué, mari attentionné et ami des plus loyal envers ceux qu’il choisit, Aendel est une personne de confiance dévoué à l'ordre et au bien commun.
HISTOIRE: Le passé d’Aendel est tumultueux, tout comme celui de ses aïeuls : Son père, Orindur, est un puissant mage appartenant à l’ordre des Psijiques, les magiciens les plus puissants de Nirn vivants sur l’île cachée d’Artaeum. Il descend notamment du Vestige, un héro ressuscité ayant échappé au royaume de Molag Bal et investi du pouvoir de Lorkhan, ayant protégé le monde d’une invasion Daedrique. Sa mère, quant à elle, est une jeune Altmer du nom de Cerriwën que les parents ont abandonné à la naissance. Devenue une Hulkynd (enfant brisée en elfique, qui désigne ces enfants abandonnés de leurs familles en raison de malformations physiques ou de tares, les conduisant à vivre dans la fange tant le nom et le prestige familial tient une place importante dans la société Altmer) car née avec des bois de Bosmer (les elfes des bois) hérités d’une affiliation très antérieure entre un Altmer et un Bosmer (union considérée comme impure et honteuse pour nombre de hauts-elfes qui se pensent supérieurs, plus sages et nobles que les autres peuples). Il compte également parmi ses ancêtres un mage du clan des Direnni et de nombreux Psijiques ou magiciens notables. Aendel est né sur l’île d’Artaeum (l'île des Psijiques, une île cachée ayant disparu du continent de Tamriel et connue pour voyager entre les continents, âges et dimensions) où il passe les six premières années de sa vie. Malheureusement, il ne connaître jamais sa mère, morte en lui donnant naissance, ce dont son père le tiendra pour responsable. Incapable de supporter le poids des souvenirs, Orindur décide de quitter l’île magique pour se rendre dans la ville de Lillandril, sur le Couchant (Archipel où vit le peuple Altmer, Lillandril est la ville de la culture par excellence, emplue d'érudits) où il emmènera son fils et le formera lui-même à la magie. Cependant sa rancœur envers Aendel est forte et Orindur ne parvient pas a passer outre, le conduisant à exiger l’impossible de son fils et se montrer particulièrement dur et distant, capable d’une véritable violence psychologique. Au départ effrayé et soumis, Aendel grandit en développant un mépris grandissant pour son père. Incapable de répondre à ses exigences et le haïssant de plus en plus, il décide de quitter le domicile familial pour rejoindre Alinor, capitale de l’Archipel du Couchant. Se faisant, le jeune garçon, âgé de tout juste 16 ans, se jure une chose : Tout faire pour ne jamais ressembler à son père ! Il décide fermement de ne jamais se servir de la magie et décide de rejoindre l’armée sous les ordres du Thalmor, le parti dirigeant de l’Archipel. Aendel entame une formation dans l’armée Aldmeri, où il trouve un soutien et une famille de substitution le confortant dans sa décision. Il participe à sa première bataille à l'âge de 17 ans et demi et, déjà, le soldat se démarque par des faits d’armes notables contre un groupe de Maomers (Elfes vivant en Pyronée et caractérisés par leur peau blanchâtre et leurs talents de navigateurs, ennemis de longue date des Altmers qu’ils ont tenté d’envahir à de nombreuses reprises), ce qui lui vaut une considération toute particulière de ses supérieurs.

Deux ans plus tard, il est mobilisé pour combattre lors de la Grande Guerre opposant l’armée du Domaine Aldmeri à l’Empire humain de Cyrodiil. Sur le front, il fait la connaissance d’une jeune archère prénommée Tinùviel, fille du Vicomte Sindoril et de la Vicomtesse Tawea, tous deux Conseillers Thalmors (Les Thalmors dirigent le Domaine Aldmeri. C'ets un groupe de Conseillers, principalement Hauts-Elfes, s'étant considérablement radicalisé et vouant une haine profonde aux humains). Aendel tombe rapidement sous son charme et affronte de nombreux obstacles à ses côtés jusqu’à ce que la jeune elfe soit blessée et rapatriée sur leurs terres natales. Il se jure alors de tout faire pour survivre dans l’espoir de la retrouver après l’enfer de la guerre. Placé sous les commandements du Général Naraafin, Aendel participe à la prise et à l’occupation de la Citée Impériale où il assiste, médusé, aux atrocités de son armée envers les civils (tortures et massacres, notamment). Intelligent et attentif, il réalise rapidement que les desseins de son général sont morbides : le général entend sacrifier les civils humains (et une partie de l’armée, simple dommage collatéral) afin d’ouvrir les portes d’Oblibion et déstabiliser le monde, espérant en profiter pour prendre l’avantage de la guerre. Conscient de la folie de ce plan qui, non seulement implique de frayer avec les Daedras mais en plus serait désastreux pour son propre peuple, Aendel décide d’agir ! Il prend contact avec les humains, en particulier celui que l’on nommera plus tard le Héros Oublié, et négocie avec lui des informations lui permettant d’arrêter le Général Naraafin. En échange, l’armée impériale consent à laisser une ouverture au Sud de la citée pour permettre aux elfes de se replier et fuir quand ils reprendront la ville. Pour autant, ivres de vengeance, les Hommes ne respectent pas leur parole et encercle l'armée Aldmeri, massacrant les soldats du Domaine dans le but de ne laisser aucun survivant dans cette terrible bataille de l’Anneau Rouge. Aendel reçoit une flèche dans le poumon et s’effondre, prêt à rejoindre les dieux… Contre toute attente, lorsqu’il ouvre les yeux quelques jours plus tard, le soldat se trouve dans un camp de fortune Aldmeri où des guérisseurs lui expliquent l’avoir trouvé inconscient à quelques pas de là. Encore aujourd’hui, l’elfe ignore si la magie qu’il possède en lui l’a sauvé, si les divins sont intervenus ou si l’un des humains l’a reconnu et épargné. Quoi qu’il en soit, cet évènement lui vaudra le surnom de « Miraculé d’Auri-El » par la population Altmer ainsi que la suspicion de certains Thalmors qui, faute de preuves, ne pourront l’inquiéter de quoi que ce soit. Une fois remis sur pied, il tient sa promesse et se met à la recherche de Tinùviel, alors devenue Alchimiste. Les deux amis se fréquentent quelques années avant qu’il n’ait le courage de lui demander sa main, ce que ses beaux-parents acceptent de bon cœur en dépit de son manque de titres de noblesse. Tawea exigera cependant qu’Aendel mette ses talents au service direct du Thalmor et devienne Justiciar, gardien des intérêts du parti. Bien que mitigé à cette idée, il accepte afin de faire plaisir à sa nouvelle famille à qui il tient beaucoup… Malheureusement pour lui, sa filiation à l’ordre des Psijiques, couplé aux suspicions liées à a sa survie, entraînent certaines remontrances de quelques supérieurs zélés et extrêmes qui feront tout pour lui mettre des bâtons dans les roues et l’empêcher de monter en grade. Pendant des années, Aendel se retrouve cantonné à des missions peu gratifiantes, luttant pour se faire reconnaître et contre l’acharnement du Comte Tucrasiil, Thalmor prétendant mériter la main de Tinùviel bien plus que lui. Cela ne l’empêchera pas de poursuivre ses efforts et de profiter de sa vie familiale, devenant père de la petite Milwën, sa plus grande fierté.

Un an avant les évènements de Skyrim, une commandante du nom d’Anirnae décide de donner une chance au soldat et l’engage dans son unité de Justiciars pour une mission basée à Daguefilante (Capitale du principale royaume de Hauteroche, la terre des Brétons, un peuple considéré comme humain mais descendant de sang-mêlé elfes et humains). Tout se passe au mieux jusqu’à ce que le haut roi se fasse assassiner, laissant son fils, un demi-elfe direct hostile au Thalmor, monter sur le trône. Pris dans un complot des siens, Aendel se voit ordonné de trahir ses valeurs, ce à quoi il se refuse pour le bien de son peuple. Décidant d’agir de manière dissidente, il découvre que la meurtrière est une espionne Khajiit à leur service, bien décidée à se venger du parti qui a massacré sa famille. Aendel réalise alors les horreurs auxquelles s’adonnent les membres du Thalmor, y compris envers leurs propres peuples, traquant, purgeant et éliminant le moindre opposant... Même si cela implique de frayer avec des vampires ou de jouer avec de la magie daedrique ou de la nécromancie. Incapable d’accepter ça, il décide de confronter sa supérieure qui l’accuse alors de traître et le fait condamner à mort, allant même jusqu’à lui remettre sur le dos le régicide pour mieux manipuler le peuple bréton. La traîtresse Khajiit profite du chaos engendré pour assassiner l’ensemble de l’unité, excepté Aendel qui fait un coupable idéal lui permettant de fuir. Avec l’aide des agents du nouveau roi qu’il a aidé, l'elfe parvient à s’enfuir et traverse la frontière le menant à Bordeciel.

Là-bas, il arrive dans la ville de Markarth où un Justiciar Thalmor du nom d’Ondolemar le reconnait et de fait arrêter. Conduit dans le fort de Norguet, où les elfes du Thalmors interrogent leurs prisonniers à l'ombre des regards publiques, il se fait alors torturé afin que le parti récupère ses aveux et le condamne ouvertement, faisant de lui un exemple pour tout individu ayant l’idée de les trahir. Le bourreau cherche aussi à lui arracher l’aveu de l’implication de sa famille qui, s’étant portée garante pour le faire entrer dans le parti, est accusée de connivence. C’est l’intervention d’une jeune femme appelée Diane Draconis, venue délivrer un autre prisonnier, qui lui sauve la vie. La jeune femme prend sur elle de ramener l’elfe dans son manoir à Solitude et de le soigner. Elle lui explique alors être l'Enfant de Dragon, l'élue d'une ancienne prophétie et détenant le pouvoir de la langue draconique en elle, lui conférant la force d'aspirer leurs âmes et de détruire à jamais le roi des Dragons, Alduin. Voyant en elle une élue d'Akatosh, le dieu du temps équivalent à Auri-El chez les elfes, Aendel met son épée au service de la jeune fille et l’accompagnera tout au long de sa quête. Cette dernière l’aidera également à trouver un moyen de faire venir Tinùviel et Milwën dans le pays nordique afin de les sauver du joug du Thalmor. Au fil de leurs aventures, les deux individus développeront une amitié profonde qui conduira Aendel à réviser son jugement sur les elfes et les humains.

Après nombre d'aventures le conduisant à affronter certains agents du Thalmors, la guerre civile nordique et les dragons, entre autres, il parviendra à retrouver sa famille. Malheureusement les elfes du Thalmor n'ont pas pour habitude de baisser les bras et envoient leurs traqueurs et assassins poursuivre sans relâche les trois individus. Aendel prend alors une décision radicale : Renouer avec la magie et rejoindre l'ordre des Psijiques afin que sa femme et sa fille puissent vivre à l'abris sur l'île cachée d'Artaeum. Il laisse les deux femmes sur l'île de Solstheim, dans la colonie Dunmer (elfes noirs) qu'il avait aidé auparavant, le temps de partir sur le Couchant pour revoir son père et quérir son aide. Or ce dernier, rancunier, refuse de lui venir en aide. Désemparé, Aendel retourne en Bordeciel pour demander l'aide des mages de l'Académie de Fordhiver où Huurwen, une ancienne amie, peut peut-être l'aider. A ses côtés, il apprend a développer ses dons mais la jeune humaine se trouve vite dépassée par ses capacités. Elle trouve alors le moyen de contacter les mages Psijiques, avec qui elle entretien un lien étroit, afin de leur soumettre la candidature de son ami elfe, ce qu'ils acceptent volontiers. De retour sur Solstheim pour chercher Tinùviel et Milwën, Aendel tombe dans un piège tendu par son épouse qui, repérée par la Comte Tucrasiil, n’a eut d’autre choix que de trahir son mari afin de protéger leur fille. A nouveau aux mains du Thalmor, Aendel accepte son sort et se prépare à mourir mais c'était sans compter sur l'aide de Diane et Huurwen qui préviennent les Psijiques et le secourent. Dans un acte de rédemption, Tinùviel se sacrifie pour permettre à son époux et leur fille de fuir. Empli de rage, de haine et de remords, il faudra un certain temps à l'elfe pour guérir de cet épisode et ce n'est que la patience des Psijiques et le sourire de sa fille qui l'aideront à faire face. Petit à petit, l'elfe parviendra a trouver un équilibre et s'impliquera plus concrètement dans la magie bien que sa crainte et ses émotions retardent drastiquement ses progrès.

La magie d’Artaeum étant particulière et Aendel possédant un pouvoir immense, sa longévité est exceptionnelle, tout comme celle de sa fille dont les pouvoirs le surpassent. En effet, Milwën est l’apogée du condensé de l’héritage du Vestige et des autres mages de la lignée, faisant d’elle une elfe particulièrement puissante, sorte de Cirilla du monde d’Elder Scrolls, que les Psijiques prennent également sous leur aile. Vivant dans ce monde à part, Aendel ne prête pas attention aux évènements de Nirn jusqu'à ce que les Psijiques l'envoient, lui et une autre magicienne, empêcher la destruction de la planète au cours de la cinquième Ere. Mobilisant ses pouvoirs pour imiter la magie propre à Artaeum qui lui permet de voyager entre les univers, il parvient à échapper à la mort une fois de plus et se retrouve dans un monde inconnu. Dès lors il n’a plus qu’un objectif en tête, trouver quelqu’un lui permettant de recontacter les Psijiques afin de retrouver sa fille restée sur Artaeum et qu’il espère avoir survécu au cataclysme. Il se met donc à la recherche d'une grande magicienne dont il a entendu le nom : Yennefer de Vengerberg.
Derrière l'écran:
Je m'appelle Pauline, j'ai 28 ans et je suis une fan des deux univers que sont The Elder Scrolls et The Witcher. Je les ai pourtant connu assez tardivement par le biais d'amis mais j'ai très vite été charmée par le lore de chacun d'eux ! Pour TW, j'ai commencé avec le troisième opus puis dévoré les livres et me suis renseignée sur les deux premiers jeux. Pour les Elder Scrolls j'ai joué, rejoué, re-re-re joué à Skyrim puis fais Oblivion et TESO en plus de me renseigner pas mal sur l'univers dont je suis absolument fan. Je RP souvent avec mes personnages TES et j'ai une petite expérience de Jeu de Rôle mais c'est mon premier forum RP ! Je suis très heureuse de vous rejoindre dans ce crossover aux côtés de mon personnage Skyrim dont j'ai écris le background il y a près d'un an !

Drakaan Tedd

Admin

Drakaan Tedd
Messages : 85
Date d'inscription : 18/11/2021
https://drakaan-tedd.forumactif.com
Lun 24 Oct - 19:16

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